A l’approche du printemps, la fonte des neiges et de la glace est toujours l’occasion de découvrir, le long des cours d’eau et rigoles descendant des montagnes, des sculptures éphémères. Notre imaginaire leur donne une existence qui ne dure que le temps de nos pensées. Elles sont condamnées à disparaitre, torturées par l’action de l’eau et du soleil.
A l’heure qu’il est, destin fut neste, elles ne sont plus de ce monde, retournées dans l’anonymat du courant. Elles gardent cependant en mémoire leur fulgurante beauté fixée par un amateur qui se veut éclairé …
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